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jean-yves le gallou - Page 39

  • Feu sur la désinformation... (279)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Nicolas Faure.

    Au sommaire :

    • 1 : L’image de la semaine
      Même confiné, Jean-Pierre Pernault reste incisif quant à la responsabilité du gouvernement dans la crise que nous traversons.
    • 2 : Les médias complices de la haine anti-policiers ?
      Alors qu’un attentat islamiste a failli coûter la vie à deux policiers, les médias ont comme d’habitude traité a minima le drame. Dans cette émission, nous nous interrogerons sur le rôle de ces médias dans la montée de la haine anti-policiers dans les banlieues.
    • 3 : Revue de presse
      Sophia Aram qui insulte une partie des contribuables qui la rémunèrent…
      Des décodeurs qui admettent leurs erreurs sur l’efficacité des masques…
      Dans ce I-Média, nous reviendrons sur l’actualité médiatique de la semaine.
    • 4 : Déconfinement : la bouffée d’air frais des médias alternatifs
      Après le discours d’Edouard Philippe sur le déconfinement, les médias dominants semblaient tous à peu près convaincus malgré le flou général. Heureusement, la presse alternative est là pour jouer son rôle de contre-pouvoir.

     

                                           

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  • Feu sur la désinformation... (277)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Nicolas Faure.

    Au sommaire :

    • 1 : L’image de la semaine
      La visite d’Emmanuel Macron au CHU du Kremlin-Bicêtre a été une opération de communication très contrôlée… sans la presse !
    • 2 : Macron prend les Français pour des confinés
      Emmanuel Macron a annoncé la fin progressive du confinement à partir du 11 mai. Si les journalistes étaient ravis de ce discours, un flou incroyable subsiste encore sur de nombreux points.
    • 3 : Revue de presse
      Facebook qui censure à tire-larigot les médias alternatifs…
      Un premier média au bord de la faillite à cause du Coronavirus…
      Dans cet I-Média, nous reviendrons sur l’actualité médiatique de la semaine.
    • 4 : Messe clandestine : le bobard pascal des médias
      En guise d’œuf de Paques, Le Point et l’AFP nous ont pondu un énorme bobard sur une prétendue messe clandestine dans la paroisse de Saint-Nicolas du Chardonnet. Pendant ce temps-là, les émeutiers de Grigny étaient tranquilles !

     

                                         

     

     

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  • Feu sur la désinformation... (276)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Nicolas Faure.

    Au sommaire :

    • 1 : L’image de la semaine
      En visite à Pantin, Emmanuel Macron s’est quasiment offert… un bain de foule ! Une scène incroyable en plein confinement.
    • 2 : Terroriste soudanais : les médias osent tout !
      À Romans-sur-Isère, samedi 4 avril, un migrant soudanais a tué deux personnes et en a blessé cinq autres aux cris d’ « Allah akbar ». Les médias ont tout fait pour minimiser cette attaque islamiste et donner des excuses au meurtrier.
    • 3 : Revue de presse
      Un appel à la prière qui n’a pas eu lieu tout en ayant quand même eu lieu…
      Une hypothèse complotiste en France considérée comme crédible au Royaume-Uni…
      Cette semaine encore, les médias dominants ont fait très fort !
    • 4 : Covid-19 : bas les masques !
      Cette semaine, les médias se sont retrouvés confrontés à une nouvelle preuve de l’amateurisme gouvernemental… la position sur l’efficacité des masques ! L’occasion de mettre les hommes politiques et les décodeurs médiatiques face à leurs contradictions !

     

                                       

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  • Feu sur la désinformation... (275)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Nicolas Faure.

    Au sommaire :

    • 1 : L’image de la semaine
      L’appel à la prière musulmane a retenti à Lyon et à Montpellier sous couvert de solidarité durant l’épidémie. Un événement peu commenté par les médias.
    • 2 : Covid-19. Croisade médiatique contre la chloroquine ?
      La chloroquine et le professeur Raoult continuent d’agiter les débats médiatiques ! Les journalistes ont-ils décidé de lancer une campagne contre la chloroquine ? La réponse dans ce I-Média.
    • 3 : Revue de presse
      Dans la revue de presse de la semaine, nous verrons notamment que l’invasion de l’Europe continue pendant la crise sanitaire, couverte ou même promue par les médias.
    • 4 : Les médias et le complotisme autorisé
      Cette semaine, on a pu voir que les médias attaquer les personnes évoquant la possibilité d’un virus créé en laboratoire… tout en remettant en doute la version officielle du nombre de morts en Chine !

                                     

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  • Feu sur la désinformation... (274)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Nicolas Faure.

    Au sommaire :

    • 1 : L’image de la semaine
      Michel Cymès continue, mine de rien, à pontifier sur les plateaux télé malgré ses graves erreurs quant à la dangerosité du Coronavirus.
    • 2 : Coronavirus. La faillite du gouvernement
      Les médias ne savent pas sur quel pied danser face aux incroyables loupés gouvernementaux. Les journalistes semblent même de plus en plus agacés...
    • 3 : Revue de presse
      Dans la revue de presse de la semaine, nous verrons que les médias s’intéressent peu à l’arrivée possible de l’Albanie dans l’UE et qu’ils s’intéressent encore moins aux attaques de migrants à la frontière entre la Turquie et la Grèce...
    • 4 : Chloroquine : grand Raoult médiatique
      Enfin, nous nous intéresserons au débat médiatique le plus brûlant du moment : faut-il faire confiance au druide Raoult et boire sa potion magique ? Dans ce I-Média n°291, nous tenterons d’apporter quelques éléments d’éclairage...

     

                                           

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  • Premières leçons de l’épidémie de Conoravirus 19

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Jean-Yves Le Gallou publié sur le site de l'Institut Iliade et consacré à ce que vient nous rappeler l'épidémie de coronavirus. Ancien haut-fonctionnaire, président de la Fondation Polémia, Jean-Yves Le Gallou a, notamment, publié La tyrannie médiatique (Via Romana, 2013),  Immigration : la catastrophe - Que faire ? (Via Romana, 2016) et Européen d'abord - Essai sur la préférence de civilisation (Via Romana, 2018). 

     

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    Premières leçons de l’épidémie de Conoravirus 19

    Répétons-le : le coronavirus n’est ni bon, ni méchant, il est indifférent. Le virus s’est propagé en profitant des faiblesses offertes par la mondialisation : entassement dans les villes, multiplication des échanges et des communications, goût du lucre, éloignement des centres de production et de communication. En même temps, dans le silence des villes et des forêts imposé par le confinement, la nature sauvage reprend ses droits. Malgré les utopies progressistes, la compétition des espèces n’a jamais cessé.

    « L’histoire est le lieu de l’inattendu » : jamais la leçon de Dominique Venner ne s’est montrée aussi profonde. L’imprévu ici ce n’est pas le coup de feu tuant un archiduc mais une épidémie mondiale remettant en cause l’ensemble du système économique. Comme la Grande peste marqua la fin du Moyen Âge et les mauvaises récoltes de 1788 préparèrent la Révolution. Sans doute le libre-échangisme mondial se montrera résilient mais tout porte à penser que la thèse de la « mondialisation heureuse » aura du mal à se remettre de l’épidémie.

    D’autant que le retour des frontières – thème du VIe colloque de l’Institut Iliade — s’impose comme une réponse à la fois sanitaire, économique, sociétale, politique. Au moment même le refus idéologique des frontières entre peuples et nations débouche sur le rétablissement de frontières intérieures et le confinement à domicile.

    « Est souverain celui qui décide des circonstances exceptionnelles » : l’analyse de Carl Schmitt prend ici tout son sens. Ouvrir ou fermer des frontières, confiner ou non la population, faire appliquer partout ou non ces mesures, mobiliser des moyens privés et publics, réquisitionner ou non des produits, sont des décisions politiques. Et seulement politiques. S’abriter derrière des « experts » (souvent bien défaillants d’ailleurs) ou un pseudo conseil scientifique présente un côté dérisoire. Avec la Ve République en France le souverain c’est le président de la République. Qu’il soit bon ou mauvais c’est une autre affaire. Qu’il ait un jour ou l’autre des comptes à rendre, c’est entendu, mais aujourd’hui c’est à lui décider. Pourtant un autre système se profile : la théocratie judiciaire. Saisi par des collectifs de médecins, le Conseil d’État s’est jugé compétent pour statuer sur la nécessité de renforcer ou non le confinement des Français. Certes il s’est gardé de trancher trop nettement mais c’est une avancée de plus vers le gouvernement des juges.

    « Politique d’abord » : si le Conseil d’État s‘est retenu d’aller trop loin, c’est qu’il a pris conscience des difficultés d’envahir le champ de la décision politique : car en prendre une exige de s’assurer d’abord de son opportunité mais aussi de sa proportionnalité, de sa pertinence (coût/ avantages), de son acceptabilité et tout simplement de sa faisabilité. Dans la trilogie de la séparation des pouvoirs, le pouvoir judiciaire juge a posteriori, le pouvoir législatif organise a priori, l’exécutif agit dans le présent et pour le futur. C’est le rôle du politique.

    Le retour du réel  et du risque : le confinement a opéré brutalement un classement entre les tâches essentielles et celles qui le sont moins. Les tâches essentielles : les missions de service public (santé, sécurité, électricité, eau, transports, enlèvement des ordures ménagères) et l’approvisionnement (agriculture, agro-alimentaire, livraisons). Les activités qui le sont moins ? Remplir des tableaux Excel ou préparer un Power Point ! L’épidémie a mis aussi en avant les métiers les plus exposés : soignants mais aussi caissier(e)s. Les plus exposés mais pas toujours les plus considérés, et souvent les plus mal payés. Tel qu’il s’est exprimé jusqu’au 15 mars, le corps médical n’a pas vu venir la crise, mais il est aujourd’hui sur la ligne de front, exposé à la contagion, et son prestige remonte.

    La faillite de l’État : aux mains d’experts déconnectés (pour mémoire le Directeur général de la santé est professeur de médecine et infectiologue) l’État a perdu la main. Il n’offre plus sa protection aux citoyens, ce qui est sa première fonction. D’où le retour à la subsidiarité : des soignants fabriquent eux-mêmes leurs masques avec du tissu. D’autres soignants décident de traiter des patients atteints du Covid 19 avec la méthode du professeur Raoult alors que celle-ci n’est pas homologuée, voire déconseillée. Des maires décrètent un couvre-feu.

    Le survivalisme n’est pas idiot : les Français découvrent qu’il faut se méfier de l’État et s’organiser de façon autonome. La crise a montré les défaillances du gouvernement : manque de gels hydro-alcooliques, manque de masques, annonces mal préparées, décisions tardives, perte de contrôle d’une partie du territoire. Dès l’annonce du confinement les vieux réflexes d’autoprotection ont repris droit de cité : constitution de stocks alimentaires et pharmaceutiques, exode depuis les villes. La crainte d’autres événements –pillages, émeutes — dans les banlieues ne peut conduire qu’à prendre d’autres précautions : la détention d’armes notamment.

    Les banlieues de l’immigration font sécession : alors que dans leur immense majorité les Français ont accepté les mesures très contraignantes de fermeture des écoles, arrêt des entreprises et confinement, la loi commune est particulièrement mal appliquée dans les quartiers à majorités afro musulmanes. Pour une raison simple : beaucoup d’habitants ne se sentent pas concernés par le destin commun des Français et n’ont pas le sentiment d’appartenir au même peuple.

    La micro cellule familiale a repris la place centrale dans la vie des Français et des Européens.

    L’État, les communes, les entreprises, découvrent qu’ils devront se passer à l’avenir de leurs fournisseurs chinois, ou à tout le moins limiter leur dépendance à l’égard de toute zone de production hors Union européenne.

    L’Union européenne est restée hors-jeu en ne fermant pas suffisamment tôt ses frontières extérieures par pure idéologie sans-frontièriste. Et en étant parfaitement inutile par la suite : ses 43 000 bureaucrates n’étant d’aucune utilité ni pour soigner, ni pour produire les biens de première nécessité.

    Jean-Yves Le Gallou (Institut Iliade, 25 mars 2020)

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